CARBONE : LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES EN PREMIÈRE LIGNE

Ivan grenetier

Ivan grenetier

Auront lieu en décembre prochain la COP 20 à Lima puis, en décembre 2015, la fameuse conférence Paris Climat, . En attendant et en espérant une gouvernance mondiale effective sur le climat, la bataille de la prévention et de l’adaptation aux changements climatiques est lancée sur le terrain. Les collectivités territoriales y jouent un rôle majeur.

Les aléas de la réforme territoriale mettent en évidence les difficultés pour trouver la bonne organisation des compétences et des responsabilités. C’est particulièrement vrai pour les sujets dits « transversaux » ou « globaux. Or, quoi de plus global, et même planétaire, que le changement climatique, dû en grande partie au moins aux émissions excessives de CO2 dans l’atmosphère ? Le CO2 ne connaît ni limite cadastrale, ni frontière régionale ou nationale. Une fois dans l’atmosphère il y reste, voyage, et s’y mélange. L’effet de serre et son augmentation sont des phénomènes à l’échelle de notre bonne vieille Terre.
Pourtant, malgré les alarmes de plus en plus pressantes, la mobilisation planétaire vers une économie décarbonée est toujours aussi difficile. Bien sûr, des signes encourageants existent comme cet automne, le démarrage effectif du fonds vert lors du sommet des chefs d’Etat à L’ONU en septembre, et les engagements pris par le Conseil Européen fin octobre : réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990 avec des objectifs contraignants par pays, augmentation de la part des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique de 27% au niveau européen à la même échéance. La vraie question est…

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