LES TUK- TUK DE BANGKOK SE METTENT AU VERT

LES-TUK-TUK-DE-BANGKOK-SE-METTENT-AU-VERTA Bangkok, il flotte toujours un voile gris entre les immeubles futuristes. Tous les jours, le fond de l’air est pollué. Mais la ville, joyeuse, s’en remet au ciel pour arranger les choses.

Sur le Chao Phraya, grosses péniches et barques colorées se hâtent au gré des courants. Dans les rues, voitures, taxis aux couleurs de bonbons acidulés, camions, bus de toutes sortes, créent de solides embouteillages dans lesquels se faufilent à toute vitesse des tuk-tuk pétaradants, colorés, scintillants de guirlandes, de fleurs. Des Bouddhas veillent à côté du rétroviseur sur la vie du chauffeur, toujours courageux et risque-tout.
Les tuk-tuk à Bangkok se conduisent comme s’ils étaient sur un circuit de F1 et il ne vaut mieux pas se trouver derrière eux, car ils polluent sans complexe. Leurs passagers, entre l’effroi et le plaisir, finissent par prendre le tout à la rigolade. Heureusement, les déités veillent. N’empêche, la pollution est devenue, pour cette capitale de plus de 10 millions d’habitants, un vrai problème. Les Thaïs en sont conscients et s’attachent à trouver des solutions qui ne remettraient pas en cause ces véhicules, symboles de la capitale.
Depuis 2007, le commandant Morakot Chansaruad et son équipe ont développé un modèle de tuk-tuk électrique qui…

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