L’agriculture fait face à trois impératifs parfois difficiles à concilier : être compétitive et garantir aux petits producteurs des conditions de vie acceptables, tout en préservant l’environnement. La bioéconomie serait-elle le point de rencontre de ces trois conditions.
Les définitions s’entremêlent, comme si le concept, nouveau-né foisonnant de possibles et de branches inexplorées, n’était pas encore tout à fait fixé dans les esprits. Depuis ses débuts en 1925, la bioéconomie a changé de sens et l’approche théorique rattachée au concept est, en réalité, en constante évolution.