L’affaire Orpea(1) a suscité beaucoup d’émoi dans le monde de la Responsabilité Sociétale de l’Entreprise (RSE), qui se demande au mieux comment une telle entreprise a pu échapper aux filets de la notation extra-financière, et au pire si cette dernière peut survivre à ce scandale. Tous soulignent en effet la faible qualité des données qui permettent d’identifier les risques environne- mentaux, sociaux et de gouvernance (ESG), et laissent entendre que seules les données financières ou comptables mériteraient toute notre confiance(2).
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