Qui n’a pris plaisir à déambuler entre les étals de fruits, de fleurs, de légumes, à écouter ces appels comme dans la chanson de Gilbert Bécaud les marchés de Provence « un peu de safran, de la Marie-Charlotte… » ?
Il n’y a jamais eu autant de marchés dans la capitale et l’Ile de-France. Lieu où toutes les classes sociales se mélangent, ils sont l’un des derniers refuges de la convivialité et des acteurs majeurs de la reconquête du cœur des villes, qu’elles soient petites, moyennes, ou grandes.
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