Les régimes pauvres en viande ou végétariens s’imposent peu à peu dans les pays occidentaux. Reconnus comme des alternatives durables, ces modes alimentaires favorisent la santé individuelle, le bien-être animal et limitent les émissions de carbone. Ils auraient le potentiel de réduire les impacts négatifs des activités humaines sur l’environnement et le climat, alors même que la croissance démographique ne fait qu’amplifier cette pression sur la planète. Une étude parue dans Global Environmental Change tente de quantifier les effets positifs et négatifs de ces changements dans nos modes de consommation.
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