Remettre la Science au cœur des décisions publiques

René Dubos écrivait « Le monde peut-il être sauvé fait moins référence à la Terre et à ses formes vivantes qu’à nos propres modes de vie et à l’avenir de nos civilisations. Il est extrêmement difficile, pour ne pas dire impossible, d’analyser les problèmes de la planète sans les ramener à l’homme. »

Au cœur des décisions publiques, la Science doit aider à résoudre les questions fondamentales que posent le développement anarchique de la planète et l’épuisement de ses ressources, mais il faut instaurer du dialogue et de la confiance entre les experts et les élus.

L’expertise scientifique est souvent mise à mal, la récente histoire des vaccins ou celle des fongicides SHDI (voir article) démontre combien le chemin est long et parfois piégé.

Nous vous proposons de découvrir les moments les plus forts de notre table ronde sur ce sujet. Vous apprendrez beaucoup des échanges entre Roger Genet, directeur général de l’Anses, Jacques Livage, titulaire de la chaire de Chimie de la matière condensée au Collège de France, Bernard Chevassus-au-Louis, président de l’association Humanité & Biodiversité, Bertrand Pancher, député de la Meuse et secrétaire de la Commission Développement durable et de l’Aménagement du territoire, et Christophe Soulard, historien, journaliste, qui a été directeur de cabinet de mairies grandes villes.

De la notion d’expert à celle de lanceur d’alerte voici, à travers ces témoignages, ce qui différencie la Science des croyances et qui peut servir nos démocraties.

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